mardi 28 octobre 2014

Googueuleries

Une certaine piétaille qui arpente les allées crasseuses du Web qui échoue ici est surtout intéressée par le cul et aussi par le fric et les maladies vénériennes et les putes. La photo est somme toute presque secondaire. Sauf quand il s'agit de se renseigner sur combien on gagne quand on est photographe (Mais on gagne plein de fric ! T'es con ou quoi ? Comment faut te le dire ?). Dans cette dernière catégorie de recherche, on remarque qu'on a souvent affaire à des déficients orthographiques profonds. Ils ont probablement le sentiment qu'il est inutile de savoir lire et écrire pour exercer un métier où il suffit d'appuyer avec un doigt. À leur décharge, ils sont bien aidés par une idée reçue déjà ancienne, selon laquelle les photographes sont des illettrés incapables de faire autre chose que ce qu'ils font (mal). Utiliser une machine aussi simple, c'est vraiment à la portée du premier crétin venu. Même si la plupart des photojournalistes ont fait des études supérieures et qu'ils ont (en général) une culture plutôt supérieure à la moyenne, Ils ne risquent pas de changer d'avis. Mais finalement, je me rends compte que j'ai toujours un peu de tendresse pour ces pauvres types qui traînent leur misère existentielle en quête de l'Eldorado où il suffit de se baisser pour les ramasser.

Frozen Piglet


"Citizen side combien gagner par mois
Filles à poils
Carte de photographe amateur
Pute
World Press 2014
Put gratuit
Combien sa gagne un photographe
Enculer Miss Pérou (je l'ai déjà eu celui-là)
Carte de presse factice
Le cul de Jennifer bese bartolini (? Là je vois pas)
Fausse carte de press
Ça gagne bien photographe
Fesse de cochon
Sexe personnes de notoriété internationale sans culotte amateur gratuit
Les photographes ne travaillent pas gratuitement
Selfie nue privés amateur
Petite maison dans la prairie rêve américain
À nous les petites anglaises sans petites culottes dans la rue"
Extraits de recherches par Google qui mènent certains visiteurs ici.





Super Marché






Voici l'aboutissement des années d'errements d'une grande partie la presse française sur le net. Le Web ? Un supermarché mondial sans ligne de caisse ou le vol est permis et encouragé à tous les coins de sites, pour les images comme pour le texte. En général les 2 sont volés en même temps sur des sites en anglais (On risque moins de faire gauler et c'est plus simple de ne rien écrire non plus). Résultat: Photos ©Pinterest, ©Instagram, ©Facebook, ©TumblR, ©FlickR ou même ©Youtube. Une petite curiosité en passant, on fait figurer le © du dernier voleur considéré comme la source au bas de la photo, alors que le vrai © figure sur la photo. Ce qui est encore plus curieux, c'est que les supposés lecteurs de ces "articles" défoncent à longueur de pages Facebook des auteurs à l'orthographe approximative: "Article nul", "sujet pourri", "On s'en tape" ou " Vous vous foutez de qui ?" ... "totalement inintéressant", "je me désabonne", "Vous êtes journaliste ?, "Changez de métier ...". Mais contre vents et marées, ils continuent jusqu'à la mort à fluxer de la merde. Il faut savoir évoluer et se tourner vers le numérique qu'ils disaient. Tout cela pour en arriver là. Qu'ils crèvent !

Frozen Piglet










vendredi 24 octobre 2014

Les patrons de presse sont-ils nuls ?

Minuscule déflagration médiatique cette semaine, Le Nouvel Observateur, premier hebdo d'information en France, lance sa marque: L'Obs (*). Créer une marque (un peu comme la Vache qui Rit), c'est devenu le but ultime pour les patrons de presse d'aujourd'hui et le remède moderne au naufrage généralisé du journalisme (comme à Libération). Pourtant, ici comme ailleurs, innover c'est se contenter de faire comme les autres et surtout rien de plus. Comme toujours, là où on a l'occasion de faire preuve d'inventivité et de sortir par le haut en prenant des risques, on sort par le bas et par la canalisation des chiottes.
Grâce aux marques, la presse sera partout (bar-restaurant, plate-formes et espaces d'échanges, objets dérivés, forum de lecteurs, charcuterie, marchand de couleurs, Pôle Emploi), oui partout sauf là où on serait en droit de l'attendre, dans le journalisme argumenté et l'information documentée. Mais c'est un détail pour ces chevaliers du pragmatisme qui combattent l'immobilisme ambiant et la connerie rétrograde pour imposer la mutualisation à marche forcée et la diversification de la presse dans la restauration (ben ouais pourquoi pas ?! On pourrait vendre des frites dans des cornets en papier journal).
L'ennui, c'est que c'est justement en brandissant l'étendard du pragmatisme que l'on a détruit l'industrie en France et que l'agro-alimentaire produit de la merde à jet continu. C'est au nom de la sainte innovation qu'on s'attaque maintenant au secteur du commerce et aux services, et que la régression frappe (presque) toutes les couches sociales de la population, pendant qu'on réinstaure l'esclavage. Les pragmatiques, ce sont ceux qui accusent les supposés tenants du "c'était mieux avant" d'être des conservateurs, des corporatistes qui défendent leur petit pré carré, des vils réactionnaires. Ensuite, ils vont acheter du pain sans gluten et du lait bio pour éviter de filer des pesticides et de la dioxine à leurs gosses qui leur ressemblent. Moi c'est à leur connerie que je suis intolérant et je les emmerde. La réaction, ils l'incarnent parfaitement et la leur, elle vient du fond des âges. La photo dans tout ça ? Hein ! La quoi ??? T'inquiètes. Les photographes, les vrais, ils sont là et ils documentent cette descente aux égouts. Dans 100 ans, c'est leurs photos qu'on regardera et des autres, il ne restera rien.

Frozen Piglet

(*) Il y a probablement une armada de têtes d'oeufs payée à prix d'or qui a turbiné pour en arriver là ...

vendredi 17 octobre 2014

Cher pays de mon enfance

Quand on est un vrai professionnel de la photo comme-moi, entre deux reportages pour "VOGUE Groenland" ou le "National Geographic albanais" pour assurer la carte de presse, on est bien obligé d'enquiller le tout venant, genre l'usine de robinets à Béthune ou la fabrication des langues de chat à St-Etienne. Le truc, c'est que dés le départ pour bien t'emmerder, Le type que tu dois voir (loin, très loin de Paris) te fixe un rendez-vous entre 8h00 et 9h00 pour bien te faire chier. Résultat, t'as plus qu'à te lever à 5 du mat pour prendre un train corail avec 3 changements. Evidemment tu peux aussi partir la veille et passer la nuit dans une riante zone d'activités où se niche un motel borgne genre film d'horreur. Mais l'autre il s'en fout. Lui, il habite à 5 minutes en bagnole dans son trou pourri. Arrivé dans son bureau miteux où il t'offre même pas un café, le mec passe déjà 20 minutes à t'expliquer pourquoi t'aurais mieux fait de venir il y a 15 jours. Quand tu lui fais remarquer que c'est lui qui a fixé la date, il te regarde l'air de ne pas comprendre et il commence à dessiner un schéma sur un paper board d'un truc qu'on voit par la fenêtre et juste après, il t'indique que cela n'a aucune importance, vu que lui il a fait plein de photos déjà et qu'il peut te les donner si tu as une clé USB (Dommage j'en ai pas et pourtant j'aime bien rire moi aussi). Alors bien sûr, je garde mon calme en mesurant l'océan qui me sépare de cet individu hébété qui pense que tout est dans tout et vice et versa. Heureusement, avec mon retour sur paris, tout est déjà oublié et je commence à me concentrer sur mon prochain reportage: une usine à Pau de yaourts.

Frozen Piglet

lundi 13 octobre 2014

Besoin d'une idée dans ton cerveau ?

On le sait depuis longtemps, les sites Internet de la presse française (presque dans sa totalité) sont des menteurs et des truqueurs, des malpolis et des profiteurs. Ils n'en branlent pas une ! (Tiens ... Ça me rappelle quelque chose ... Hein ?). Oui les sites du Kazakhstan aussi, mais je les visite rarement. 
Mais dans la presse française, les pires sont les sites des magazines dits féminins. Là, absolument tout est permis pour meubler la vacuité. Nous avons ici un bel exemple avec "Les 40 plus beaux tatouages de (tenez-vous bien) Pinterest-Elle". 10 lignes d'un teasing minable et le tour est joué. Avec les réseaux sociaux, si tu ne viens pas à Largadère, qu'importe Lagardère viendra à toi ! Faut dire qu'ils ne risquent pas grand chose puisque sur Internet, le droit à l'image est assez globalement aboli (sauf pour les professionnels qui sont des délinquants multirécidivistes) et le droit d'auteur, on lui pisse à la raie. Alors dans le même genre, il y a aussi Grazia qui emprunte carrément des vidéos ©NewYorkTimes sans l'ombre d'un questionnement. C'est en anglais, mais on s'en fout, c'est pour des cagoles sans cerveau. Un capture d'écran pour illustrer le post et le tour est joué. Ben ouais ! C'est ça s'adapter. Dommage pour eux, ils se retrouvent très vite avec ça à la place et ils passent pour des pauvres cons.

Bof c'est pas très grave puisque l'important est de commettre du flux à la durée de vie limitée pour faire semblant d'exister. Ça rentre par un oeil et ça sort par une oreille  Du Buzz ils appellent ça ... et c'est même posté dans la rubrique "Culture". Je n'ai qu'un espoir. C'est qu'un jour, tous ces trucs de minables ressemblent aussi à ça: Un écran noir. Ce jour-là, on pourra d'abord boire un coup pour fêter dignement l'évènement et ensuite peut-être commencer à envisager de faire quelque chose avec toute cette technologie qui ne sert à peu près à rien, si ce n'est à promouvoir la connerie, au profit du plus grand nombre.

Frozen Piglet

vendredi 10 octobre 2014

Essai Gratuit

On le sait depuis longtemps, les photographes de profession (les Pros quoi) sont des menteurs et des truqueurs, des malpolis et des profiteurs. Ils en branlent pas une ! ( en plus ils ne se lavent pas et ils ne se rasent pas non plus. Il y en a même qui mangent leurs crottes de nez ). On ne leur connait pas de maladies professionnelles à part la tendinite de l'index et encore ...  Ce qui ne les empêche nullement de lever le coude d'ailleurs. Mais oui ! On le sait très bien qu'ils ont des recettes pour tromper les gens et bidouiller leurs photos pour avoir le WorldPress et même coucher avec plein de filles, les salauds ! Heureusement, depuis que des spécialistes de la manipulation les ont démasqués en révélant leurs turpitudes, tout le monde est au courant. Alors bien sûr, maintenant tout le monde veut faire pareil ! 
Hein ??? Bah bien sûr ! Chacun veut avoir sa part du gâteau ! Kes tu crois ?!
Alors à part les appareils numériques qui déjà permettaient de réaliser des photos parfaites sans l'ombre d'un début de connaissance sur le sujet, il existe des "logiciels magiques" beaucoup mieux que Photoshop® (Même cracké, c'est trop compliqué ... Une vraie usine à gaz), pour soigner les acnés persistantes ou les boutons sur les fesses ( Oui ! Les grosses fesses de ta copine ). Je ne citerai pas de nom pour ne pas être accusé de faire de la publicité clandestine par le CSA ... Mais tout le monde verra à quoi je fais allusion.
Bien entendu, une fois que tu disposes des mêmes trucs que les pros, tu peux à ton tour générer des revenus (du fric, plein de fric) et rendre des clients heureux pour le même prix. Cool non ? C'est d'une simplicité enfantine de gagner du pognon avec la photo. En plus, même si tu rates la photo, Eh ben tu peux la retoucher pour qu'elle soit bien quand même ... Surtout quand elle est floue et sous-ex de 8 diaphs et demi. En fait, c'est ça qui les fait chier les pros ! Que tout le monde puisse le faire, parce que c'est tellement facile et que tout le monde le fait maintenant ! Alors ? On la ramène moins là ! Ah ah !

Frozen Piglet


jeudi 9 octobre 2014

C'était bien, c'était chouette chez Lorette ...



Tiens, hier Libération.fr a publié un papier sur les 25 ans de la chute du mur de Berlin illustré par Gérard Malie, un photographe de l'AFP. Une des photos chères à Laurent Abdjian de Télérama sans doute. Enfin pas si chère puisque lui se félicite de payer aujourd'hui ce genre de photo 0,88 centimes d'euro. Des fois, je me demande si la honte est en pièce jointe du fichier photo qu'on télécharge par internet pour moins de 1 euro ?
25 ans ça passe dans un souffle. Il y'a 25 ans, les photographes vivaient de leur métier déjà plus ou moins bien. Mais ELLE, l'AFP ou le Monde ne volaient pas encore des photos sur le Web en les créditant ©Instagram ou ©Pinterest ou whatever. Evidemment puisqu'il n'y avait pas de photos du tout dans le Monde et qu'internet n'existait pas. T'es con ou quoi ? Hein ??? ... Oh putain merde ! C'était mieux avant ! Ça y est je l'ai dit ! L'éternelle controverse des "anciens" contre les "modernes", les vieux riches contre les nouveaux pauvres, les réactionnaires contre les progressistes, le pain contre les biscottes, les chômeurs contre les actifs, les freudiens contre les lacaniens, l'escalier contre les ascenseurs, le PSG contre l'OM, Canon contre Nikon, Les visionnaires contre les bas du front, Les idiots contre les imbéciles, les auteurs contre les plagiaires, les nains contre les géants, les slips contre les caleçons, Le bourgogne contre le bordeaux, L'argentique contre le numérique, l'analogique contre le digital, le franc contre l'euro, la CSG contre la RDS, le privé contre le public, le théâtre contre le cinema, le print contre le web, Télérama contre Télé7 jours, Le Nouvel Obs contre l'Express, Les cons contre le reste du monde.

Frozen Piglet












lundi 6 octobre 2014

Point mort

On le constate tous les jours, "l'innovation" et ses soeurs jumelles hydrocéphales, "la compétitivité" et "la formation" sont au coeur de tous les discours dominants des crânes d'oeuf mainstream qui se répètent en boucle dans les médias (je note que la plupart du temps, ces guignols ne parlent même pas anglais). Mais le truc, c'est que c'est bien sûr toujours les autres qui doivent innover, se former et être compétitifs. Ben ouais, sinon c'est pas drôle. Alors au passage, être compétitif, c'est être payé moins, pour un travail plus dur et plus long, en étant pas formé du tout. Et même éventuellement ne pas être payé, ça c'est encore plus le top. Pour rappel, Il y a 1,6 million de stagiaires en France et 300 000 apprentis, dont un bon nombre ne savent à peu près ni lire ni écrire. Mais cela ne semble pas poser de problème à nos têtes pensantes.
Si l'on considère un instant le journalisme et le traitement de l'information sous cet angle, on risque de chercher vainement la moindre forme de nouveau concept ces 15 dernières années, excepté l'utilisation du support numérique lui-même. On pourra toujours citer quelques exemples ici ou là pour prouver le contraire, mais manque de pot, tous les trucs qui ont un peu marché sont non reproductibles et souvent à peine rentables. C'est déjà un miracle quand ils ne perdent pas de pognon. C'est ce qui les différencie  des autres trucs qui perdent de l'argent par wagons et de ceux qui tentent de refaire la même chose et qui se plantent.
En fait, la seule vraie idée innovante des patrons de presse du vingtième siècle a été de scinder en deux les rédactions du "print" (papier) et du "web" en les séparant physiquement et en les opposant méchamment. Ce qui a eu pour effet de diviser les salaires par 2 ou 3 (au minimum) et aussi de diviser les salariés. Ceci reposant sur le 1er mythe fondateur selon lequel en aucun cas, les vieux ne pourraient s'adapter au monde moderne plein de promesses rayonnantes qui allait s'offrir à nous. L'autre étant qu'on allait produire une information de qualité gratuite grâce au numérique, en pratiquant le dumping social à l'intérieur de la presse. Ces crétins ont juste oubliés un truc, c'est qu'il fallait aussi payer leurs salaires de ministres (mais heureusement pour eux, pour cela curieusement il y a toujours du pognon).
Ce qui est important pour nous, les gens de l'image au sens large, c'est que dés le début, les responsables de ce carnage ont aussi exclu d'emblée toute utilisation d'images produites par des professionnels pour privilégier des formats de video merdiques, des diaporamas vérolés avec de la pub et des images indigentes "empruntées" ça ou là, ou même achetées 1 euro par 13 à la douzaine. Aujourd'hui alors que le haut débit est là et qu'il est facile d'avoir une image très belle à regarder (*) et donc un bien meilleur affichage, on constate que le modèle qui domine est toujours une image de merde posée dans un graphisme de merdeOn a même réussi fait croire à des tas de gens et à beaucoup de photographes qu'un nouveau genre multimédia allait s'imposer sur le web pour six mois de boulot et 200 euros tout compris. Quelle rigolade ! La pub elle même (pourtant si innovante). La pub la pauvre, n'a jamais su "s'adapter" au web et toutes ses manifestations ne sont que des repoussoirs et des incitations à zapper dans les plus brefs délais. Quand à la vente à perte des magazines papier (comme la presse féminine) et aux gratuits, ce n'est qu'un illusoire jeu de je te tiens, tu me tiens par la barbichette qui finira aux oubliettes, comme le reste. Le plus embêtant dans tout cela, c'est que le savoir ne se transmettra jamais sur ce modèle et qu'il est impossible de planifier quoi que ce soit, à part un formatage très bas niveau et un restart genre small is beautiful. Parfois je rêve que je serai là pour le voir de mes yeux la fin de ce monde minable et le début de quelque chose de vraiment nouveau.

Frozen Piglet

(*) à condition d'avoir un bel écran NEC de 27 pouces comme-moi et pas un premier prix de chez DELL comme toi pauvre con

jeudi 2 octobre 2014

Camera Obscura

hebergement d'imageContrairement à une opinion largement répandue chez les béotiens et aussi chez les singes, ce n'est pas l'appareil qui fait les photos ni même l'idiot qui appuie sur le bouton, mais bien l'individu qui maitrise la bête et qui sait s'en servir. Après, il y a les circonstances qui font que nous les professionnels, on a plein d'appareils photo et on vous emmerde tous. On a aussi des tas de zooms (qui ouvrent à 2,8) et des focales fixes hors de prix avec des ouvertures dignes de nous, genre 1.4 ou même 1.2 pour les tarés qui nous font chier avec leurs histoires de bokeh. Je parle même pas des flashs, je dois en avoir une bonne douzaine de 0 à 800 joules (0 c'est pour ceux qui marchent plus, mais je les garde en souvenir. T'es con ou quoi ?). Ouais on parle en joules (*) mon petit gars. Le nombre guide, c'est pour les amateurs. Sinon en règle générale, la lumière nous obéit un peu comme si on était  Chuck Norris.
Bien sûr tout ça ne m'empêche pas de continuer à acheter des appareils contre vents et marées et aussi contre l'avis de madame Piglet qui arrive à deviner (depuis le temps) quand je suis en période de réflexion intense sur un nouvel investissement. Rien que l'été dernier, j'en ai encore acheté 2:
Un Fujifilm X100S qui me sert de presse-papier pour l'instant, parce que je le trouve beau et que je ne comprends rien au menu et un Canon 5D MK truc avec un 85 qui déchire sa race pour les portraits (oui j'ai trahi Nikon). Je dois dire que ce petit reflex me donne bien des satisfactions et notamment celle de me faire passer pour un genre de touriste en vadrouille. Tout ça, c'est arrivé aussi parce que j'ai donné mes 2 Nikon à caler avec mes optiques chez NPS. L'ensemble était comme qui dirait dans les choux et les photos pas (plus) très nettes. J'ai décidé que je le ferai maintenant une fois par an avant la rentrée, comme presque tout le monde chez les photographes avertis qui en valent 2.

Frozen Piglet

Sinon, la rentrée justement s'annonce encore plus chiante que les années précédentes
Sur ma photo, un couple de touristes dans le parc des Tuileries tente de rentrer en contact avec les comptes Instagram et Facebook des extraterrestres pour leur chanter une chanson.

(*) et en Watts/seconde comme me le rappelle aimablement un commentaire en anglais


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